[Zach]*frappe à la porte de son bureau*

*fronce légèrement les sourcils*

Depuis quand tu aimes la botanique, d'ailleurs?

*hausse les épaules*

Depuis l'année dernière. Quand j'étais en Australie! J'ai rencontré une fille qui adorait les plantes...

*sourit légèrement*

*hausse les sourcils, intéressée*

Raconte!

Rien de bien extraordinaire... Cette fille était un peu timbrée par contre.

*fronce les sourcils*

Elle parlait à ses plantes... bref. Elle était très jolie, ça compensait.

*sourit*

Et elle m'a hébergé pendant un moment, alors j'ai appris à m'occuper des plantes...

*sourit légèrement*

Tu as gardé contact avec elle?

*secoue la tête*

Non... trop timbrée.

*sourit*

*secoue la tête*

Je suis sûre qu'elle te plaisait!

*hausse les sourcils*

Serais-tu en train de dire que j'ai un faible pour les tarées?

*amusé*

*acquiesce, amusée*

Oui, c'est la réalité, non?

Non!

*sourit*

Je dois être un aimant à tarées! J'y suis pour rien!

*se relève et s'approche de lui, et attrape le sécateur, doucement de ses mains*

Et quelles tarées?

*hausse les épaules*

Des schizophrènes... des pyromanes... des tueuses à gage...

*sourit*

*fait claquer le sécateur sous le nez de Zac avec un sourire amusé*

Vraiment?

Une catastrophe!

*amusé*

Le jour où je trouve une fille normale, je l'épouse! Et lâche ce sécateur!

*refait claquer le sécateur avec un sourire sadique*

Pourquoi?

Tu me ferais presque peur!

*amusé*

*sourire angélique*

Je veux juste te retailler le nez!

*se touche le nez*

Mais mon nez est très bien, merci!

*frole le nez du sécateur*

Tu trouve? Tu veux pas que je te le retouche? Et en plus c'est gratuit!

Non, je t'assure!

*lui enlève le sécateur des mains*

Ou je coupe tes cheveux!

*sourit*

*rejette ses cheveux en arrière et recule vivement*

N'ose même pas!

*rit légèrement*

Pourtant je t'assure que je suis un excellent coiffeur!

*pas contente du tout^^*

Ah ouais? Tu exerceras tes talents de coiffeur sur quelqu'un d'autre!

Toujours aussi susceptible sur tes cheveux!

*sourit*

*agacée de s'être encore fait prendre à ce petit jeu, lève les yeux au plafond*