*allongé sur la rembarde*

*hoche la tête sans rien dire*

*Le regarde toujours*

Mais tu as tous ces morts sur la conscience n'est ce pas ?

Oui. Ca ne me quittera jamais...

*Laisse un moment de silence en regardant les étoiles puis murmure :*

J'ai tué l'homme... l'homme que j'aimais il y a un siècle et demi...

*la regarde*

Pourquoi l'avoir tué?

Je suis dans l'armée. Générale. Mon oncle est le Roi de ma communauté et mon fiancé, un traitre, a tenté de le tuer. J'ai du le supprimer de mes mains...

*reste impassible*

Il s'était servi de moi et pourtant je l'aimais... sa mort restera sur ma conscience...

*hoche lentement la tête*

Bien entendu...

As tu déjà aimé quelqu'un ?

*le regarde dans les yeux*

Aimer... au point de pouvoir mourir pour elle ?

*secoue la tête en la regardant*

Non, jamais...

*Sourit un peu*

Je suis sûr que tu trouveras quelqu'un un jour. Et là, tu comprendras pourquoi je t'aurai donné, mon sang, ma vie plutôt que de sacrifier celles de ma fille... et d'Ewan...

*hoche la tête et sourit légèrement*

*Détourne le regard*

Si Lliane apprend qui vous êtes, elle vous fera partir, toi et ta soeur. De gré ou de force. Tu es au courant de ça ?

*soupire*

Elle a si peur que ça?

Oui. Mais comprends la. Vous n'êtes rien pour elle quand tous ces élèves sont tout.

*hausse les épaules*

Et il y a beaucoup de chance pour qu'elle découvre qui on est?

Une chance sur deux. Si je reste, je vous aiderai.

*la regarde*

Merci.

*Sourit un peu*

C'est dur.

*tourne le regard vers lui*

Je sais.

*lui rappelle que ça a été dur de le remercier après la forêt*

*sourit en coin et reporte son regard vers la forêt*

hj: ouhhhh je l'aime Edward mdr! J'adore l'avatar

Quelle heure est il ?

hj: moi aussiiiiihihiiii! mdr! :Edward:

*jette un coup d'oeil à sa montre*

2h.

Je vais aller me coucher. une longue journée m'attend demain.

*se lève et hésite puis pose une main sur son épaule. La serre doucement puis s'éloigne sans un mot, sans un regard et disparait dans les escaliers*

Bonne nuit...

*soupire et se rallonge sur la rembarde*